Après plusieurs compactes et crossovers, DS propose pour la première fois une grande routière classique. Offre-t-elle à la marque française l’opportunité de discuter d’égal à égal avec les grands noms de l’automobile allemande? Éléments de réponse…
Pourquoi diable les voitures françaises ne retiennent-elles guère l’attention de celles et ceux qui sont à la recherche d’un véhicule un peu luxueux? Dans presque tous les domaines de prestige, nos voisins du sud jouent un rôle de premier plan, qu’il s’agisse de bien-être, de vins et spiritueux, de parfumerie et, bien sûr, de cuisine et de mode. Citroën a jadis joué les premiers rôles avec la «vraie» DS (celle qui a été produite jusqu’en 1975), mais plusieurs décennies plus tard, ce sont les constructeurs allemands qui donnent le ton pour ce qui est des voitures de plus de 50.000 €, même s’il existe quelques exceptions, comme Land Rover, Tesla, Lexus ou Volvo.
- Insonorisation très soignée
- Habitabilité arrière généreuse
- Équipement de série complet
- Consommation finale quelconque
- Commande du système multimédia
- Finition intérieure encore perfectible