Essai détaillé / Mazda CX-5 Skyactiv-D 150 : Le Samouraï du SUV

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Mazda offre une profonde mise à jour au CX-5, pièce maîtresse de sa gamme. Le voilà plus confortable, plus distingué et cossu que jamais.

Le CX-5 est l’une des pièces maîtresses de la gamme Mazda: il représente à lui seul 25% des ventes de la marque, soit plus de 1,5 million d’unités écoulées depuis 2012, année de son lancement. Autant dire qu’il est stratégique, d’autant plus que la catégorie ne cesse de s’étoffer. Cela dit, il n’était pas nécessaire de faire table rase du passé, la demande pour le CX-5 n’ayant jamais faibli. Du coup, c’est surtout du côté du style que ce SUV évolue. Il prône désormais l’approche «jinba ittai», qui veut illustrer l’osmose entre le conducteur et son automobile alors que... les moteurs n’évoluent pas. En essence, on retrouve donc toujours le 2 litres de 160 ou 163 ch selon qu’il est associé ou non à la transmission intégrale et le 2,5 litres de 194 ch. Les diésélophiles s’intéresseront sans doute davantage au 2,2 litres 4 cylindres de 150 ou 175 ch.

  • Style personnel intéressant
  • Sérieux de la construction et de finition
  • Confort en net progrès, insonorisation
  • Habitabilité toujours généreuse
  • Commandes agréables
  • Pneumatiques inefficaces (Toyo)
  • Connectivité indigne
  • Hayon motorisé lent
  • Fiscalité à BXL et en Wallonie
  • Moteur creux sous 1800 tr/min
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