Voici quelques années, Mercedes lançait son nouveau GLC et, quelque temps plus tard, sa variante coupé. Tous deux sont disponibles en version hybride rechargeable. Mais hormis les avantages fiscaux de ce mode de propulsion, qu’en est-il au quotidien?
En 2008, Mercedes dévoilait à Pékin l’anguleux GLK en guise de riposte aux Audi Q5 et BMW X3. Celui-ci n’a jamais connu le succès espéré, de sorte qu’en 2015, un GLC (selon la nouvelle dénomination en vigueur à Stuttgart) tout en rondeurs faisait son apparition, dans un premier temps sous la forme d’un élégant mais très classique SUV, ensuite dans une variante au look de coupé plus sportif, en réponse au BMW X4. Dans les deux cas, le modèle de haut de gamme n’est plus équipé d’un 3 litres V6 à essence de plus de 300 ch: il s’agit désormais d’un groupe hybride rechargeable, tout aussi puissant, mais bien plus doté en couple et, surtout, capable de rouler un certain temps en mode électrique pur. Dans les grandes lignes, la technique utilisée est identique à celle de la berline C 350e déjà passée au crible de l’essai détaillé en septembre 2015 (MA n°1611).
- Confort de haut standing
- Comportement plaisant et dynamique
- Perfs/consommation (à condition de recharger)
- Equipement de sécurité disponible
- Aptitude au tout terrain
- Tarif premium, cherté de certaines options
- Lacunes dans l'équipement de série
- Pas de boîte automatique à 9 rapports
- Volume de charge plus restreint
- Prise de courant vulnérable