Après 10 ans d’absence, l’appellation Ignis revient dans la gamme Suzuki. La nouvelle venue n’existe qu’en 5 portes et avec un 1.2 à essence. Mais avec de solides arguments, essentiellement pratiques et esthétiques.
La précédente Ignis a connu un succès commercial mitigé. Suzuki compte bien rattraper le coup avec sa nouvelle venue. Il a choisi pour cela de miser sur la vague très tendance du mini-SUV urbain, gage d’un succès quasi assuré. Son offre passe donc par un 1.2 à essence associable au choix à une boîte manuelle ou automatique et à une transmission à 2 ou 4 roues motrices. Elle mise aussi sur une réelle habitabilité, une modularité intéressante et une bouille craquante qui devrait faire… craquer. Mais attention à la prise de tête ou aux prétentions déplacées: elle n’hésite pas à s’afficher à un tarif quasi rédhibitoire alors qu’elle a encore tout à prouver. Une gueule d’ange et de solides arguments rationnels ne servent à rien s’ils sont masqués par un tarif qui tape à côté. Voyons tout cela…
- Moteur souple et étonnamment volontaire
- Modularité intéressante
- Habitabilité/encombrement
- Comportement routier sain et naturel
- Nombreux espaces de rangement
- Prix de base largement surfait!
- Aucun plastique moussé, que du dur!
- Politique d'équipement contraignante
- 4 places seulement si banquette coulissante
- Seuil du coffre haut perché: 74 cm!