Essai détaillé / Toyota Avensis 2.2 D-4D 150 & 177

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Toyota Europe surfe depuis quelque temps sur deux vagues: sa réputation de fiabilité en béton et, plus récemment, l'écologie, avec cette fois un tout nouveau 2.2 D-4D que l'on nous promet comme le moteur à allumage spontané le plus propre du monde. Du cou

Avec ce nouveau 2.2 D-4D, c'est sûr, Toyota va faire du chiffre, du moins en ce qui concerne la version de 150 ch. Car vu sa fiscalité pénalisante, il y a peu de chances que la D-Cat de 177 ch s'impose chez nous. Sans compter que son train avant a du mal à digérer tant de couple. C'est d'autant plus dommage que seule cette dernière profite du catalyseur à 4 voies, particulièrement intéressant sur le plan du respect de l'environnement. Pour le reste, l'Avensis reste fidèle à elle-même, comprenez qu'il s'agit avant tout d'une Toyota (donc d'une voiture particulièrement fiable), mais aussi d'une berline spacieuse et confortable... manquant malheureusement de gaieté. Ce nouveau Diesel, pour l'heure le plus puissant de sa catégorie, aurait sans doute mérité d'être monté dans une voiture plus attrayante. Il équipera bientôt l'Avensis Verso, mais on l'attend surtout sous le capot de la nouvelle Lexus IS. Là, ce sera le feu d'artifice garanti! Audi, BMW et Mercedes n'ont qu'à bien se tenir!

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