Premier essai / BMW 220d Cabrio

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Si la gamme des Série 2 Cabrio s’articule principalement autour de moteurs à essence, BMW ne pouvait se permettre de snober les diésélophiles impénitents, auxquels il propose sa 220d.

Nous allons sans doute vous paraître un peu «conventionnels», voire prétentieux, mais le fait est qu’un moteur Diesel dans un cabriolet constitue toujours à nos yeux une association légèrement contre nature, cela dit sans vouloir le moins du monde minimiser les qualités du moteur Diesel en question. Une mécanique «à mazout» est certes moins gourmande qu’un moteur à essence, mais la différence de prix à la pompe entre les deux carburants étant de plus en plus réduite, l’avantage financier dont était synonyme le Diesel s’amenuise lui aussi. Surtout quand il s’agit d’un cabriolet, qui est souvent la deuxième voiture de la famille et ne se destine donc pas vraiment à abattre de forts kilométrages... Cette BMW 220d Cabrio se prête pourtant très bien à l’exercice, mais elle impose certaines concessions pratiques à l’usage, ainsi que vous avez pu le lire dans l’essai détaillé de la 220i Cabrio dans les pages qui précèdent. Cela étant, à qui veut absolument un Diesel sous le capot de sa Série 2 Cabrio, BMW propose le moteur 20d qui motorisait déjà l’ancienne Série 1 Cabrio. Il s’agit pour l’heure du seul Diesel de la gamme, puisque les moteurs 18d et 25d ne nous arriveront qu’au mois de juillet.

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