Premier essai / Jaguar XFR-S

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Chez Jaguar, la lettre «R» a longtemps désigné les variantes les plus sportives. Depuis peu, un S est venu s’y ajouter sur les plus extrêmes d’entres elles. Dans le cas de la berline XF, qu’est-ce que cela donne?…

Voici 2 ans, nous avions opposé dans une confrontation riche d’enseignements trois grandes routières supersportives: la Jaguar XFR croisait le fer avec la BMW M5 et la Mercedes E 63 AMG. Moins chère, la Britannique y avait pris la mesure de ses deux rivales allemandes, malgré une puissance moindre. On était donc en droit de se demander pourquoi Jaguar a voulu créer une version S de sa XFR, à l’homogénéité déjà remarquable.
Une première réponse réside dans le fait que s’est fait jour une demande de la clientèle en ce sens. Il existe (et il existera toujours…) des gens fortunés qui en veulent toujours plus et qui sont prêts à mettre (copieusement…) la main au portefeuille pour s’offrir un supplément d’exclusivité. Pour un constructeur automobile, il serait stupide de ne pas profiter de cette manne. Un deuxième élément de réponse, moins directement avouable, est sans doute une certaine frustration dans le chef de la marque au félin: sans son suffixe S, la XFR était, malgré son homogénéité redoutable, un peu en retrait de ses deux rivales allemandes en puissance absolue. Un crime de lèse-majesté aujourd’hui corrigé.
Voici 2 ans, nous avions opposé dans une confrontation riche d’enseignements trois grandes routières supersportives: la Jaguar XFR croisait le fer avec la BMW M5 et la Mercedes E 63 AMG. Moins chère, la Britannique y avait pris la mesure de ses deux rivales allemandes, malgré une puissance moindre. On était donc en droit de se demander pourquoi Jaguar a voulu créer une version S de sa XFR, à l’homogénéité déjà remarquable.
Une première réponse réside dans le fait que s’est fait jour une demande de la clientèle en ce sens. Il existe (et il existera toujours…) des gens fortunés qui en veulent toujours plus et qui sont prêts à mettre (copieusement…) la main au portefeuille pour s’offrir un supplément d’exclusivité. Pour un constructeur automobile, il serait stupide de ne pas profiter de cette manne. Un deuxième élément de réponse, moins directement avouable, est sans doute une certaine frustration dans le chef de la marque au félin: sans son suffixe S, la XFR était, malgré son homogénéité redoutable, un peu en retrait de ses deux rivales allemandes en puissance absolue. Un crime de lèse-majesté aujourd’hui corrigé.
 
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