Premier essai / Subaru Forester

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Le Forester quatrième du nom ne navigue plus entre les catégories breaks et 4x4. Il est désormais un vrai SUV. Et ça se voit.

Les Forester précédents ont toujours partagé une partie de leurs composants avec l'Impreza. C'est encore le cas aujourd'hui, puisque la plate-forme dérive de celle de la récente XV - donc de celle de l'Impreza, non vendue chez nous. L'habitacle est toujours typé Subaru. Comprenez par là que les matériaux comme l'assemblage sont soignés, que la sellerie est exemplaire, mais que l'ensemble s'avère toujours un peu sombre et tristounet. Cela dit, la connectivité est à la page. Plus encombrant, le Forester est plus habitable qu'auparavant et il l'est en tout cas bien plus que pas mal de ses concurrents.

Dès les premiers tours de roues, le Forester confirme qu'il a tout d'une Subaru, à commencer par une motricité sans faille et un comportement sûr qui se montre de surcroît très efficace grâce à un roulis très bien maîtrisé. Le modèle Diesel reste une référence en matière de douceur de fonctionnement, tandis que ses 147 ch suffisent amplement à mouvoir cet engin plutôt imposant. Amélioration notable: bien que toujours un peu lente, la boîte à 6 rapports est bien plus agréable que l'ancienne «5» grâce à des verrouillages plus doux.

Les Subaru restent incontestablement des voitures d'ingénieurs, donc aussi des voitures de connaisseurs. Le Forester ne fait pas exception et c'est ce qui explique qu'il gagne à être connu, parce qu'en plus de ses qualités intrinsèques, il révèle d'étonnantes qualités fonctionnelles et dynamiques, y compris avec son boxer Diesel. Dans le paysage automobile, c'est une pièce unique.

L'essai complet est disponible dans votre Moniteur Automobile 1542 du 6 février 2013.

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