Essai comparatif / 3 sportives : L’«R», enfin, supérieur?

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Après ses GTI, GTD et GTE, la Golf 8 coiffe sa gamme sportive avec la R. Une nouvelle mouture promettant, cette fois, plus de «fun» grâce à sa transmission intégrale à répartition vectorielle. De quoi, enfin, survoler magistralement le segment des compactes dévergondées?

Si elle ne peut, bien sûr, plus prétendre au 6-cylindres des anciennes Golf VR6 et R32, cette Golf 8 R pousse tout de même le 4-cylindres 2.0 turbo EA888 de ses sœurs GTI (245 ch) et GTI Clubsport (300 ch) jusqu’à 320 ch. Une augmentation de 20 ch par rapport à la précédente génération de Golf R, qui lui permet d’égaler les sportives les plus musclées du segment. À l’instar d’une certaine Honda Civic Type R dont le bouillonnant 2.0 turbo développe pile-poil la même cavalerie. Mais au-delà des chiffres, c’est surtout avec la promesse d’un agrément dynamique magnifié grâce à sa transmission intégrale 4MOTION R-Performance, intégrant dorénavant un différentiel arrière à répartition vectorielle de couple, que cette nouvelle R met l’eau à la bouche. Jusqu’à carrément nous rejouer le coup du mode «Drift» de feue la Ford Focus RS! Sur une Golf, même siglée R, avouons que l’on ne s’y attendait pas… Visiblement, cette nouvelle Golf R semble bien décidée à bouleverser l’image de «bourgeoise pataude» qui collait à sa lignée! Ou serait-ce une attention destinée à récupérer la clientèle premium nostalgique des ruades offertes par les précédentes BMW M135i/140i… et déçue par le changement d’architecture opéré par la nouvelle M135i xDrive?

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Avis Rédaction 15.20/20
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