Au coeur de l'hiver, un comparatif ébouriffant entre les quatre dernières représentantes «grand public» d'une architecture autrefois réservée à une élite sportive: le moteur central arrière.
Si la Toyota remporte la palme de l'homogénéité et de la polyvalence, la Lotus enlève celle de la sportivité. La plus dynamique et la plus vive, la plus exclusive, elle ne laissera apprécier ses charmes qu'aux plus passionnés prêts à composer avec un confort rudimentaire et un bruit exubérant. Mais cela étant accepté et compris, quel plaisir de conduite! L'Opel se situerait juste derrière, très près. Parce qu'elle est à la fois pas beaucoup plus confortable et dans le même temps un peu moins gratifiante en conduite dynamique. Mais tout se joue ici dans la nuance. Enfin, reste à la MGF une ligne sympa et un moteur agréable. Mais vivement la relève...