Essai comparatif / Suzuki Baleno face à 6 rivales

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N’en déplaise aux biologistes, le «baleineau» de Suzuki tient davantage du poisson frétillant que du mammifère pataud. Gonflé à bloc par son nouveau 3 cylindres 1.0, il vise pile dans le mille pour faire des vagues. Cétacé ?

Omettant tout le sérieux de la philosophie nippone, on pourrait croire l’espace d’un instant à une private joke. Voire une pique adressée à la concurrence. C’est vrai, après tout: nommer «Baleno» un modèle qui, peu importe sa version, ne dépasse jamais la barre fatidique de la tonne (de 865 à 980 kg) alors que les autres berlines du segment peinent à la côtoyer dans leurs versions dépouillées, voilà qui sonne comme un sérieux affront! Ne cherchons pas si loin et voyons plutôt dans ce retour de l’appellation Baleno, abandonnée depuis plus de 15 ans, un (malhabile?) positionnement marketing. Oubliez, en tout cas, tout ce que vous connaissiez de la Baleno lancée au siècle passé. Celle-ci prend la forme d’une berline de moins de 4 mètres et étrenne des techniques/mécaniques inédites pour Suzuki. De quoi affronter sereinement la rude concurrence, tant l’asiatique (représentée ici par les Hyundai i20, Honda Jazz et Mazda 2) que les «références» européennes du genre (Škoda Fabia, Opel Corsa et Renault Clio) ?

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