Essai comparatif / Toyota Auris 1.33 VVT-i et Volkswagen Golf 1.2 TSI : Tentative de putsch?

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Entre atmosphérique et turbo, Toyota et Volkswagen avancent chacun des arguments pour le moins séduisants. Un point commun néanmoins: le retour en grâce des petits moteurs à essence. Le point avec ce match entre deux représentantes du segment C.

Si le marché automobile belge est majoritairement dominé par le Diesel, il existe une tranche de la population pour qui le moteur à essence est plus indiqué. On pense notamment aux citadins qui effectuent habituellement de courts trajets ou à ceux qui roulent peu et qui n’ont, par conséquent, pas la possibilité d’amortir le surcoût à l’achat que représentent traditionnellement les moteurs Diesel.

L’offre à essence d’entrée de gamme su. t dès lors amplement à satisfaire les besoins quotidiens d’une frange croissante de la population. Surtout depuis la fin des primes fédérales, qui avantageaient outrageusement le Diesel. Bref, dans certains segments de marché, on (re)commence à trouver des mérites aux moteurs à essence. La Toyota Auris et la Volkswagen Golf ayant récemment fait peau neuve, nous les confrontons ici dans leurs versions d’accès 1.33 VVT-i et 1.2 TSI.

Bien qu’ils soient destinés à une même clientèle, ces moteurs sont très différents dans leur conception. Si Toyota propose un «bloc» atmosphérique profitant d’un calage variable de la distribution, Volkswagen traite ses moteurs à essence de la même manière que ses Diesel c’est-à-dire qu’il les suralimente par turbocompresseur. L’Allemand recourt aussi à l’injection directe, tandis que le Japonais s’en passe toujours.

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