Comme le modèle qu’elle remplace, l’Audi A3 Sportback de nouvelle génération se décline aussi en une variante hybride rechargeable, et même deux. Leur mission consiste à réduire les émissions de CO2 moyennes de la gamme Audi et aussi à offrir un avantage fiscal à leur propriétaire.
Il y a un peu plus de 6 mois, Audi lançait les classiques versions TFSI et TDI (30 et 35) de son A3 de 4e génération, qui n’existe plus qu’en Sportback et en Berline. Mais à côté de la version à gaz naturel g-Tron commercialisée dans la foulée et de la sportive S3, les variantes hybrides rechargeables sont bien sûr à nouveau de la partie. Le constructeur d’Ingolstadt a été présent assez tôt dans ce segment puisque c’est en 2015 qu’il a proposé une version hybride rechargeable de la précédente A3. Et aujourd’hui, le plug-in hybride est devenu un must pour garder sous contrôle les émissions d’une gamme automobile, très surveillées par l’Union européenne…
À ce propos, ne parlez plus d’A3 e-Tron: pour les démarquer clairement des Audi 100% électriques et utiliser des désignations dans le droit fil de celles des autres modèles, les A3 hybrides rechargeables s’appellent désormais A3 TFSI e. Et Sportback pour être complet, puisque seul ce type de carrosserie reçoit ces motorisations mixtes. Extérieurement, la TFSI e est uniquement identifiable à l’inscription sur le hayon arrière et à la trappe de recharge électrique au niveau de l’aile avant gauche, alors que sur l’ancienne A3 e-Tron, elle se trouvait sous le logo de la calandre (spécifique) de la voiture.
- Autonomie électrique intéressante
- Comportement efficace et gratifiant
- Contenu technologique
- Suspension trop ferme (avec jantes de 17")
- Qualité perçue en recul
- Prix élevé avec options