Essai détaillé / Audi A4 35 TFSI : Bonifier avec l’âge

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Arrivée à mi-carrière, l’Audi A4 se met à la page, notamment grâce à des fonctions de connectivité toujours plus étendues. L’occasion de revenir aussi sur l’entrée de gamme à essence, assurée non plus par un 1.4 TFSI, mais désormais par un 2 litres, baptisé 35 TFSI.

Si les SUV ont envahi le marché durant la dernière décennie et en particulier chez Audi, où la gamme compte pas moins de 6 modèles (Q2, Q3/Q3 Sportback, Q5, Q7, Q8), l’A4 reste l’un des produits phares d’Ingolstadt: chaque année, il s’en vend plus de 300.000. Le restylage qu’elle subit aujourd’hui représente plus qu’une simple cure de jouvence. Il constitue une étape importante dans la vie de la berline du segment premium, qui tente de rester dans le coup face à ses rivales de toujours, la nouvelle BMW Série 3 et la Mercedes Classe C en tête, sans oublier l’outsider Volvo S60. Tandis que les modifications de style se concentrent autour des blocs optiques, désormais de série à diodes, les vraies évolutions se concentrent dans les systèmes de connectivité. Avec la mort annoncée du Diesel, nous avons choisi le moteur d’entrée de gamme à essence 35 TFSI pour ce nouveau tour du propriétaire.

  • 2.0 TFSI doux, sobre et discret
  • Boîte S-tronic bien adaptée
  • Confort général de marche
  • Finition et assemblage soignés
  • Multimédia et connectivité aboutis
  • Phares à diodes esthétiques et performants
  • Options onéreuses et en cascade
  • Espace aux jambes sur la banquette
  • S-tronic peinant à «décoller»
  • Dynamisme sur la route aseptisé
  • Diamètre de braquage important
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Avis Rédaction 15.27/20