La nouvelle Audi A6 se montre encore peu dans nos rues. Sans doute parce que, conformément à une vieille tactique du commerce automobile, les versions les plus prestigieuses sont toujours les premières à être livrées. Aujourd'hui, la gamme est complétée d
Cet essai a donc pour épine dorsale les deux moteurs de base de l'A6: le 2.4 à essence, ici équipé de la boîte à variation continue Multitronic, et le très attendu 2.0 TDI de 140 ch, déjà vu sous le capot de l'A3 et de la Volkswagen Golf. Ceux qui ont bonne mémoire se souviennent que l'ancienne A6 utilisait également un V6 de 2,4 litres. Bingo, le revoici: celui
qui nous intéresse aujourd'hui en est un dérivé. Ou plutôt est repassé profondément sur la table de travail. Que dire qui ne soit déjà connu à propos du 2.0 TDI, si ce n'est qu'à bord de l'A6, il est implanté longitudinalement. Premier 4 cylindres TDI à culasse multisoupape, celui-ci possède 2 arbres d'équilibrage, tandis que son alimentation est confiée à des injecteurs-pompes.