Avec l’A7 Sportback, Audi s’essaie à un créneau jusqu’ici inconnu de lui: celui de la grande berline de luxe aux allures de coupé, avec bien entendu, énormément d’ambition.
A l’image de Midas qui avait reçu de Dionysos le don de transformer tout ce qu’il touchait en or, chaque entreprise d’Audi, dans quelque segment que ce soit, est couronnée de succès. Et la marque aux quatre anneaux de continuer à explorer de nouvelles niches de marché, histoire de faire gonfler son portefeuille de clients et, forcément, son chiffre d’affaires, non sans assouvir sa volonté de domination du monde automobile. Ainsi, après la citadine premium A1 (sa production venait tout juste de démarrer que les capacités d’assemblage devaient être revues à la hausse afin de mieux satisfaire la demande), c’est une nouvelle grande berline de luxe aux allures de coupé qui débarque sur le marché et vient s’intercaler (y compris par ses dimensions et ses prix) entre les classiques A6 et A8.
- Comportement routier dynamique et efficace
- Confort de marche global/insonorisation réussie
- 3.0 V6 TDI onctueux et performant
- Volume du coffre appréciable/accès aisé
- Sécurité active de haut niveau
- Qualité de fabrication et de finition
- Contours de carrosserie difficiles à cerner
- Rapport encombrement/habitabilité sacrifié
- Visibilité périphérique moyenne
- Bruits parasites à hauteur des montants B
- Mesquineries d'équipement, options chères
- Contenance limitée du réservoir de série (