La nouvelle A7 exacerbe le dynamisme visuel de sa devancière, mais elle se montre aussi un peu plus habitable, confortable, technologique et connectée. Le tout sans rien perdre de ses aspects pratiques. Ses rivales n’ont qu’à bien se tenir…
Hasard du calendrier, l’A7 évolue en même temps que sa principale concurrente, la Mercedes CLS, lancée en 2004 et considérée comme précurseur du genre «berline-coupé»; même si d’autres y avaient déjà pensé à une autre époque… L’A7 s’est immiscée dans cette niche commerciale en 2010, se voulant plus habitable et pratique grâce à son hayon électrique donnant accès à un coffre généreux. La nouvelle venue conserve ces atouts. A quelques millimètres près, elle reprend la silhouette de sa devancière en se voulant plus agressive, voire spectaculaire grâce à son jeu de lumières. De quoi en mettre plein la vue à ses concurrentes, surtout parce qu’elle se veut plus attrayante que ses rivales sur le plan tarifaire, au point qu’elle passerait presque pour une bonne affaire; comptez 70.000 € minimum tout de même…
- V6 quattro redoutable d’efficacité
- Compromis confort/sportivité
- A la pointe de la technologie sur toute la ligne
- Habitabilité confortable pour un «coupé»
- Finition et ergonomie irréprochables
- Tarif élitiste, comme d’hab’!
- Ça commence à faire beaucoup d’écrans…
- Une ligne plus musclée, mais moins subtile…
- Visibilité périphérique
- Consommation du V6 à surveiller