Essai détaillé / Audi A8 3.0 TDI

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L'Audi A8 revient avec une foule de petites nouveautés techniques et une palette de moteurs à la fois plus puissants et plus sobres. Dont l'inévitable 3.0 TDI.

Ses traits presque inchangés ne le disent pas, mais à Ingolstadt, les équipes chargées de développer la grande A8 n'ont pas chômé. Cela n'a rien d'étonnant compte tenu des enjeux: le segment des limousines est celui qui reste le plus rémunérateur pour les constructeurs allemands. Plus que l'allure (qui évolue un peu quand même), c'est le contenu que les ingénieurs ont travaillé principalement. Les améliorations touchent bien entendu le bien-être et la sécurité (affichage tête haute, caméra de vision nocturne), le confort et la qualité perçue (nouveaux habillages), mais aussi les moteurs, qui évoluent tous de près ou de loin. Le Belge aime le Diesel et, à ce titre, la nouvelle A8 ne pourra que le combler. Le plus courant 3.0 TDI calque désormais sa puissance sur celle de la 730d (258 ch) tout en n'omettant pas, bien sûr, d'en rajouter une petite couche pour le couple (580 Nm à l'A8, 560 Nm à la Série 7). Dans cette catégorie où rien ne suffit jamais, il ne faut surtout jamais renoncer à en faire un peu plus que son voisin.

  • Confort de haut niveau
  • Comportement plaisant
  • Motricité avec transmission Quattro
  • Perfs étonnantes, conso contenue
  • Équipement de série plutôt complet
  • Soin apporté à la finition
  • Rapport encombrement/habitabilité quelconque
  • Volume du coffre décevant
  • Options chères
  • Commandes du MMI vieillissantes
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