Essai détaillé / Audi Q7 3.0 TDI

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Après 10 ans d’une carrière sans grande remise en question, l’Audi Q7 confie à son premier successeur plus que la totalité des progrès et innovations consentis par les 3 générations des 2 modèles rivaux. Premier constat: le fardeau aurait allégé le plus gros SUV de la marque aux anneaux. Mais encore ?

Le dernier venu dans le segment du gros SUV allemand aurait fermé la porte derrière lui. La carrière du Q7 tend en tout cas à prouver qu’il a commis l’erreur d’arriver tard (2006), bien après le pionnier (Mercedes ML), son suiveur (BMW X5) et ses cousins (Porsche Cayenne, Volkswagen Touareg). L’année de son lancement précédait de peu celle de l’apogée de cette niche du marché haut de gamme. Le Q7 n’en profi ta pas longtemps, la crise et la désaff ection pour les grands 4x4 venant rapidement tasser ses ventes mondiales. Contrairement à ses homologues construits aux Etats-Unis (Mercedes, BMW), il est fabriqué comme le Touareg à Bratislava et n’a pas pu se laisser porter par le sursaut du marché américain. Au passage, ça prouve qu’en dépit de tous ses efforts de qualité, Audi n’a pas l’image de Porsche, alors que le Q7 était mieux construit que le Cayenne de première génération.

  • Confort d’habitacle, de suspension…
  • Agilité et vivacité (4 roues directrices)
  • Comportement tous types de conduite
  • Performances, agrément du V6 TDI tiptronic
  • Sièges du 3e rang utilisables et escamotables
  • Qualité et présentation sans faille
  • Freins peu endurants
  • Poids imposant, malgré l’allègement
  • Encombrement en ville (plus de 5 m de long)
  • Pas vraiment plus frugal en gazole qu’avant
  • Options mesquines à ce niveau de gamme
  • Prix du véhicule correctement équipé...
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Avis Rédaction 16.20/20
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