Essai détaillé / BMW 118d

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Si la Série 1 reste fidèle au sacro-saint principe de la propulsion, elle double désormais son dynamisme routier de précieux progrès dans des domaines aussi essentiels que le confort ou l'habitabilité.

Basée sur la plateforme de la Série 3 de 2012 (le châssis actuel, en fait, mais profondément remanié), la Série 1 - qui ne sera plus disponible qu'en 5 portes - est sensiblement plus encombrante que celle qu'elle remplace. Elle s'est en effet étirée de 8,5 cm, dont 3 pour le seul empattement, tandis qu'elle est plus large de 2 cm. C'est un peu la folie des grandeurs, mais cet accroissement profite à l'habitabilité, un secteur qui, justement, constituait un des gros points faibles du modèle précédent. Comme le modèle précédent, la Série 1 joue aussi techniquement les éclaireuses devant la Série 3, notamment avec une gamme entière de mécaniques suralimentées. Souvent pionnier pour ce qui touche aux ensembles mécaniques, BMW s'illustre aussi pour ce qui touche aux transmissions, puisqu'il est le premier constructeur à proposer une boîte automatique à 8 vitesses dans un véhicule aussi compact.

  • Accord moteur/boîte
  • Performances et consommation
  • Equilibre du châssis
  • Confort étonnant
  • Qualité de finition
  • Habitabilité en progrès
  • Perte de personnalité esthétique
  • Amortissement insuffisant
  • Habitabilité toujours limitée à l’arrière
  • Direction peu communicative
  • Prix élevé, options chères
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Avis Rédaction 14.15/20