Essai détaillé / BMW 118i : Changement de philosophie

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Jusqu’ici dernier défenseur de cette architecture au sein du segment des compactes, BMW a fini par renoncer à la propulsion pour sa nouvelle Série 1! Un sacrilège pour certains, mais une évolution qui passera inaperçue d’une majorité de clients… Explications par l’essai de la 118i.

A quoi bon s’échiner à maintenir une architecture spécifique au nom de l’agrément de conduite dynamique dans une catégorie où la majorité de la clientèle ne semble pas ou plus intéressée par ce genre de considération? C’est en partant de ce constat que la nouvelle Série 1 – la troisième du nom – a fini par perdre sa spécificité technique, sous prétexte d’évoluer vers plus de confort et d’homogénéité. L’autre argument, moins affiché, mais nettement plus recevable, est que BMW rationalise de la sorte ses investissements en n’employant plus qu’une seule plateforme pour toute sa gamme compacte, y compris celle de Mini. Au risque de fâcher les puristes et les amoureux de la propulsion – qui ne manqueront pas de prendre soin de leurs modèles E87 (2004-2011) ou F20 (2011-2019), lesquels prendront sans doute un peu de valeur –, la Série 1 est donc devenue une pure traction! Un risque très modéré, selon BMW, qui prétendait déjà en 2010 vendre 80% de ses Série 1 à des personnes persuadées d’avoir affaire à un modèle à roues avant motrices…

  • Compromis confort/comportement dynamique
  • Ensemble 1.5/boîte 6 très convaincant
  • Insonorisation de haut niveau
  • Habitabilité en hausse (surtout à l'arrière)
  • Position de conduite, ergonomie globale
  • Perte de personnalité (traction, style «adouci»...)
  • Direction peu communicative
  • Commande de boîte sans saveur
  • Aides à la conduite parfois intrusives
  • Mesquineries d'équipement
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Avis Rédaction 15.30/20
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