Essai détaillé / BMW 216d Active Tourer A : Diesel filtré

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Il y a 4 ans, la Série 2 Active Tourer est venue chambouler les codes de la marque avec son format de monospace et, surtout, son architecture de traction. Il est temps pour elle de se refaire une beauté et de s'offrir une nouvelle transmission censée réduire son appétit.

Dire que la BMW Série 2 Active Tourer est un succès commercial chez nous relève de la litote. En 2017, il s’en est vendu 2.617 et 769 autres ont trouvé propriétaire entre janvier et mai de cette année. Pourtant, au départ, sa popularité ne paraissait pas si évidente après son arrivée…fracassante. Avec son format de monospace, il s’agissait de la première vraie familiale de BMW et, de surcroît, de la première traction portant ce badge. Une architecture jusque-là réservée aux Mini. Du coup, elle est venue perturber la perception des clients habitués à la marque, les a un peu déboussolés. Mais d’un autre côté, elle a réussi à attirer à elle un tout autre public: les familles cherchant une voiture habitable et attirées par le blason premium.

  • Confort de marche
  • Boîte performante…
  • … aidant le moteur à être frugal
  • Habitabilité et sens pratique
  • Finition réellement premium
  • Boîte discrète
  • Prix très premium
  • Options mesquines
  • Visibilité de trois quarts AV et AR
  • Relances apathiques
  • Vibrations rustiques au démarrage
  • Restylage timide
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Prix en savoir plus sur la version essayée NC
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