Essai détaillé / BMW 525d Touring

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Outil de la mobilité des cadres supérieurs, la BMW 5 n'est jamais autant appréciée que lorsqu'elle donne à ces work alcoholics l'occasion de prendre un break: la touring, dont le hayon leur permet d'intercaler les brefs répits d'une existence trépidante.

La première variante touring de la Série 5 suivra de 1991 à 1996 (125.700 ventes). Elle proposait déjà une lunette arrières'ouvrant indépendamment du hayon. Et l'option du double toit ouvrant existait aussi. Plus proche de nous (1997-2003), la deuxième génération fit plus que doubler la diffusion (260.000). Le modèle étrennait alors un train roulant en alu qui lui faisait
économiser 36% sur les masses non suspendues. Afin de supprimer les chapelles de suspension et de gagner ainsi 16 cm sur la largeur de chargement, l'essieu arrière Integral de la touring avait fait l'objet d'un ancrage moins mangeur d'espace. Cette recette des amortisseurs horizontalisés tient toujours, et s'associe aux ressorts pneumatiques du correcteur d'assiette automatique monté de série.
Aujourd'hui, 5 ans après la Série 3, la Série 5 touring entre dans sa troisième génération pour poursuivre son exponentiel succès. En profitant des solutions innovantes lancées par la berline, et de quelques astuces propres à sa condition de break.

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