Essai détaillé / BMW M2 : Coeur de M3

Rédigé par le

Sommaire

Découvrez notre prêt auto

Avec une offre de modèles qui explose, des dimensions sans cesse en hausse, des moteurs downsizés et des monospaces à traction avant, on se demande si, dans sa volonté de «faire du chiffre», BMW n’aurait pas vendu son âme au diable. La M2 nous prouve que non.

BMW lance la M2 en faisant référence à une certaine 2002 Turbo. On se doutait bien qu’ils n’allaient pas faire leur mea culpa d’avoir fait de la M3 une M4 (jusque-là, passe encore, même si, pour les puristes, cette nouvelle appellation n’évoque plus rien du tout), encore plus hypertrophiée que le modèle précédent. Notez, ils auraient tort de se priver: chez BMW, plus les modèles prennent de la place sur la route, plus la clientèle se fait nombreuse. Soit… En ce qui nous concerne, nous dirions que la M2 succède à deux modèles: à la M3 (selon nous, plus encore à la E46 à 6 cylindres qu’à la E90 à moteur V8) et à la 1M, version très (trop?) radicale de la 1 Coupé produite en nombre limité et, aujourd’hui déjà, devenue un véritable collector. Ne rêvons cependant pas: la M2 ne recourt pas à un moteur atmosphérique à haut régime (fini, ce temps-là!). En revanche, son intéressant 6 en ligne s’accouple d’origine à une boîte manuelle (boîte M DKG disponible en option), tandis que la partie châssis a été affûtée comme il se doit.

  • Véritable propulsion sportive
  • Moteur remarquable (couple, puissance, sonorité)
  • Position de conduite, finition
  • Equipement de série
  • Conso raisonnable (en conduite raisonnée…)
  • Direction peu communicative
  • Commande de boîte perfectible
  • Tableau de bord peu inspiré
  • Talon-pointe artificiel énervant
  • iDrive pas clair à 100%
Lire la suite? Téléchargez GRATUITEMENT l'essai complet!
Prix en savoir plus sur la version essayée NC
Avis Rédaction 15.63/20