En dépit des qualités qui lui sont reconnues, la Chevrolet Cruze voyait sa carrière commerciale ralentie par l'absence de variante break. Elle y a désormais droit, en même temps qu'à de nouveaux moteurs.
La Cruze partage nombre d'éléments avec l'Opel Astra. En fait, c'est carrément elle qui a reçu l'insigne honneur d'inaugurer une nouvelle plateforme utilisée, plus tard, par la cousine allemande. Depuis peu, la Cruze étoffe sa palette de nouvelles mécaniques Opel. L'incontournable 1.7D en fait partie, c'est celui que nous vous proposons dans le présent essai. Or la Chevrolet profite aussi du 1.4T à essence de 140 ch remplaçant le 1.8, en tout cas pour le break et la 5 portes, car la berline 4 portes conserve bizarrement ce 1.8 litre de puissance équivalente (141 ch). Ce n'est pas tout: on peut leur préférer le 1.6 à essence atmosphérique de 124 ch ou le 2 litres Diesel. Ce dernier n'est plus le TCDI de VM Motori délivrant 125 et 150 ch tel que proposé dans la Cruze en début de carrière. En fait, ce Diesel est emprunté à la Malibu, qui l'avait chipé à Opel; il est donc d'origine... Fiat. Sa puissance est quasi égale: 163 ch contre 160. Permettez-nous de penser que, d'un point de vue très rationnel, il y a de quoi trouver ce choix un peu étrange.
- Moteur agréable
- Comportement sûr et rigoureux
- Châssis réussi
- Rapport prix/équipement très favorable
- Ligne réussie
- Coffre pratique
- Sécurité active: pas de gadgets modernes
- Qualité des matériaux un peu juste
- Politique d'options restrictive
- Certaines touches de commande rébarbatives
- Fréquence d'entretien élevée
- Non proposée en automatique