Essai détaillé / Chevrolet Orlando 2.0 TCDi 130

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L'Orlando marque l'incursion de Chevrolet dans le segment des monospaces «compacts» pouvant accueillir 7 passagers. Il y affronte une rude concurrence, mais, conscient de la chose, il ne part pas au combat la fleur au fusil. Quels sont dès lors ses argume

Dit «compact», mais long tout de même de 4,65 m, l'Orlando s'apparente davantage à un Renault Espace (4,66 m) qu'à un Grand Scénic (4,56 m). Pourtant, et à l'instar de ses congénères, il est bâti sur une plate-forme de berline Cruze, dont il reprend les principes de suspension : pseudo-McPherson à l'avant et essieu de torsion à l'arrière. L'empattement est néanmoins allongé de 7,5 cm pour permettre à l'Orlando d'accueillir jusqu'à 7 passagers. Chevrolet se contente de proposer un 1.8 à essence de 141 ch et deux variantes 130 et 163 ch du 2.0 Diesel. Des nouveautés étrennées par l'Orlando qui feront également leur apparition sur le millésime 2011 de la Cruze.


  • 7 places de série pour toutes les finitions
  • Moteur silencieux, élastique et linéaire
  • Comportement confortable et dynamique
  • Robustesse dans l'assemblage des matériaux
  • Modularité aisée (mais à compléter)
  • Politique de prix serrés sans égale
  • Politique d'équipement incompréhensible
  • Encombrement général imposant
  • Volume de coffre correct sans plus
  • Hauteur des seuil et plancher de coffre
  • Étagement des rapports de boîte à revoir
  • Fréquence élevée des entretiens
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Prix en savoir plus sur la version essayée NC
Avis Rédaction 14.21/20