Essai détaillé / Corvette C7 Stingray

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Si les quatre tuyères d'échappement de la nouvelle Corvette (la 7e du nom) ressemblent à des trompettes, ce n'est pas innocent. C'est pour mieux sonner la chasse à la 911, un sport que l'américaine n'a jamais aussi bien exercé qu'aujourd'hui.

Premier constat: Chevrolet a décidé de réhabiliter l'appellation Stingray pour sa C7, un nom qui fleure bon le missile balistique, mais qui est en fait l'héritage de la Corvette C2 de 1963 qui, outre la mise en oeuvre des technologies de pointe, se caractérisait aussi dans sa version coupé par une vitre arrière en 2 parties. D'où son appellation Stingray ou «raie pastenague», un poisson particulièrement agile. Cela dit, la nouvelle C7 n'a évidemment rien de commun avec celle de 1963. Pas plus qu'avec sa devancière, la C6 de 2005. Car sa coque n'est plus en acier, mais en aluminium, rigidifiée par des traverses en magnésium comme celle des dernières Z06 et ZR1, qui reprenaient beaucoup des C6R de compétition. Sur le papier, ça a permis d'économiser 45 kg tout en accroissant la rigidité de 57%, au point que le cabriolet ne nécessite plus de renfort. Les seules modifications entre les deux versions se limitent au logement de la capote et au repositionnement des points d'ancrage supérieurs des ceintures de sécurité. Du côté mécanique, c'est aussi un peu la révolution: le tout nouveau small block de

  • Sportive historique
  • V8 enivrant et lyrique
  • Rapport prix/prestations, équipement complet
  • Caractère entier, personnalité affirmée
  • Comportement équilibré et efficace
  • Utilisation plutôt facile
  • Détails de finition
  • Insonorisation aux bruits de roulement
  • V8 vite glouton
  • Commande de boîte lente
  • Ergonomie compliquée
  • Désactivation des cylindres brutale
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Prix en savoir plus sur la version essayée NC
Avis Rédaction 14.62/20