Essai détaillé / Dodge Viper SRT-10

Rédigé par le

Sommaire

Découvrez notre prêt auto

Rentrer dans le rang, pour le roadster américain le plus exubérant, c'est abandonner le toit de fortune, lisser quelque peu ses rondeurs pulpeuses, et mieux nous restituer les enseignements glanés sur 10 années de courses d'endurance par la Dodge Viper.

Le département Street & Racing Technologies a repensé la Viper, désormais dénommée... SRT-10. Lancée en août 2002 comme modèle 2003 aux USA, elle retrouve chez nous son patronyme (Dodge) qu'elle n'aurait jamais dû perdre. Ses concepteurs ne se sont pas contentés de procéder à l'ablation du pontet de la lucarne targa (le gros fauteur de trouble) ni de procéder à un restylage de surface. Ils ont allongé l'empattement de 66 mm dans le dessein d'intégrer, sans rogner sur le cockpit ni le coffre, la soute destinée à ranger l'armature repliée d'une véritable capote. Dans la foulée, la moitié au moins des panneaux de carrosserie
et des éléments structurels ont été modifiés. En gagnant 45 kg au passage. Et les ingénieurs d'apporter dans la foulée plus d'une centaine d'améliorations au bénéfice de la rigidité d'ensemble, des performances globales, de l'équilibre de comportement et du confort de conduite. Cela étant, la nouvelle Viper demeure fidèle à un châssis tubulaire à caisson central, à une carrosserie en matériau composite, et à un moteur V10 en alu ancré longitudinalement sous un très long capot. Avec des cache-soupapes rouges...

Lire la suite? Téléchargez GRATUITEMENT l'essai complet!