Véritable couteau suisse urbain, la Honda Jazz arrive enfin dans sa quatrième génération, qui s’émancipe. Par la taille et l’habitabilité comme par l’équipement.
Apparue en 2001 – abstraction faite de la City des années 80 rebaptisée à la hâte –, la Honda Jazz a ceci de particulier: en 15 ans d’existence – et plus de 5 millions d’exemplaires vendus –, elle n’a changé ni de forme, ni de philosophie. Elle est toujours restée cette citadine monovolume de moins de 4 mètres particulièrement soignée sur le plan de l’habitabilité, de la modularité et de la maniabilité. Voire de l’écologie lorsque l’on considère la génération précédente, également disponible en une version hybride, la seule du segment B avec la Toyota Yaris. La nouvelle Jazz existe elle aussi en version hybride, mais pas pour nous, malheureusement, Honda ayant jugé la demande européenne insuffisante. Ou plutôt les incitants fiscaux trop disparates. Dommage, même si l’on sait que le constructeur a une fois de plus soigné les formidables qualités pratiques de son petit monospace urbain.
- Habitabilité de référence
- Modularité
- Habitacle astucieux
- Voiture connectée
- Confort et insonorisation en progrès
- Ergonomie mieux pensée
- Accord moteur/boîte décevant
- Finition un peu plastique par endroits
- Rythme des entretiens (1 an)
- Plus de version hybride