Pour la rentrée, la nouvelle i30 se mue en break. Développé sur et pour notre continent, ce modèle calque ses concurrents européens. Et d’une génération à l’autre, le coffre a gonflé. De quoi venir chatouiller les références du segment ?
La Hyundai i30 a des gènes européens. Elle est produite à Nošovice, en République Tchèque. Et, en berline comme en break, le modèle s’est fait tailler une robe sur le Vieux Continent. Pas encore à Milan, certes, mais à Rüsselsheim, en Allemagne. C’est là que se situe le Q.G. européen de Hyundai, un département qui s’est également penché sur les réglages du châssis de l’i30. Histoire que cette voiture coréenne colle de près aux attentes du client européen... Et cette variante Wagon est un modèle très important pour le constructeur, puisque, dans le cas de la précédente génération d’i30, le break représentait pas moins de 40% des ventes. Précisons aussi que la famille i30 s’agrandira encore bientôt, avec l’arrivée d’une version «berline/coupé» à 5 portes, baptisée Fastback.
- Volume du coffre
- Confort de marche global
- Comportement routier sain et rigoureux
- Equipement généreux et à jour
- Garantie 5 ans, sans limite de kilométrage
- Consommation du 1.0 T-GDi à surveiller
- Qualité perçue perfectible à bord (plastiques durs)
- Performances modestes (reprises)
- Commande de boîte légèrement accrocheuse
- Politique d'options toujours contraignante