Traduisant les formidables progrès en matière de style enregistrés récemment par Hyundai, la i40 fait aussi la part belle au downsizing, en particulier dans sa gamme à essence, laquelle propose un prometteur seize-cents à injection directe, fort de 135 ch
Comme les constructeurs japonais il y a une dizaine d'années, Hyundai adopte une stratégie résolument européenne pour sa gamme de produits. L'i40 en constitue d'ailleurs la plus parfaite illustration, elle qui a d'abord été commercialisée en break, une forme de carrosserie qui ne trouve précisément preneur que sur le Vieux Continent (61% des ventes du segment D). Mais la démarche ne s'arrête pas là . Basée sur la plate-forme de la Sonata américaine et coréenne, cette familiale a par ailleurs été entièrement refondue dans le centre européen de la marque, en Allemagne. Esthétique, ensembles moteur-boîte, liaisons au sol, tout est repassé dans les mains des ingénieurs basés à Rüsselsheim. Sur le papier, l'i40 berline est la copie conforme du break, hormis pour la longueur, réduite de 3 cm par le (petit) coup de machette assené dans le porte-à -faux arrière.
- Ligne recherchée
- Confort global de marche
- Insonorisation
- Connectivite complète
- Habitabilité généreuse
- Programme de garanties (5 ans sans limitation)
- 1.6 GDi manquant de couple sous 3500 tr/min
- Reprises laborieuses
- Direction inconsistante
- Options relatives à la sécurité limitées
- Visibilité périphérique