Essai détaillé / Hyundai Ioniq 5 : Des arguments de poids

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Basée sur une toute nouvelle plateforme et dotée d’une vraie personnalité visuelle, l’Ioniq 5 ouvre un nouveau chapitre dans l’histoire de Hyundai. Mais surtout, elle débarque avec de solides arguments qui pourraient rapidement mettre à mal la concurrence.

Ioniq (contraction de «ion» et «unique») est désormais l’appellation réservée aux modèles électriques du géant coréen. Cela dit, le sigle de Hyundai reste bien visible sur le capot et le couvercle de coffre. Parce qu’il constitue un gage de sérieux? Quoi qu’il en soit, l’Ioniq 5 étrenne une toute nouvelle plateforme modulaire, l’E-GMP, conçue exclusivement pour des véhicules électriques, ce qui, comme on le verra plus loin, a de nombreux avantages. Elle est disponible en 2 ou 4 roues motrices. La 2 roues motrices est une propulsion pouvant être équipée d’une batterie de 58 kWh associée à un moteur développant 170 ch ou à une batterie de 73 kWh alimentant un moteur de 218 ch. Dans tous les cas, le couple est de 350 Nm. La version à 4 roues motrices est d’office associée à la grosse batterie et embarque un moteur supplémentaire au niveau de l’essieu avant fort de 95 ch. Les valeurs de puissance et de couple cumulées sont donc de 305 ch et… 605 Nm! Notons au passage que pour cette version, Hyundai annonce le 0 à 100 km/h en seulement 5,3 s. Nous disposions pour cet essai d’un modèle de base Core avec la batterie de 73 kWh.

  • Voiture apaisante
  • Habitabilité/coffre
  • Capacité de recharge
  • Modes de régénération bien pensés
  • Absence d’essuie-glace arrière
  • Léger manque de feutré de l’amortissement
  • Poignées de portes manuelles pas pratiques
  • Combiné principal peu structuré
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Avis Rédaction NC
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