Essai détaillé / Jaguar E-Pace P250 : petite boule de nerfs

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Maintenant que Jaguar a découvert le SUV, il exploite le filon. Après le F-Pace (et avant l’i-Pace 100% électrique), il lance un «compact» qui veut séduire par son style typiquement Jaguar et ses qualités dynamiques affirmées.

Le premier Jaguar du genre a donc été le F-Pace, un SUV moyen supérieur, long de quelque 4,70 m. Il s’inscrit dans un segment où l’un de ses plus dangereux concurrents n’est autre que le Range Rover Velar, partageant la même mécanique et apparu un peu plus tard. Pour l’E-Pace, les choses se sont passées dans l’ordre inverse. Il utilise la base technique des Range Rover Evoque et Land Rover Discovery Sport. Car il ne faut pas s’y tromper: l’E-Pace n’est pas un F-Pace en réduction, pas plus que l’Evoque n’est un petit Velar. Les châssis sont fondamentalement différents. Alors que le F-Pace part d’une base de propulsion et possède un moteur longitudinal, l’E-Pace se caractérise par un moteur monté transversalement et la version d’entrée de gamme (D150) est d’ailleurs une simple «traction», les autres variantes possédant toutes une transmission intégrale.

  • Look
  • Bonnes performances
  • Plaisir de conduite, comportement dynamique
  • Espace disponible, sens pratique
  • Capacité et modularité du coffre
  • Consommation pouvant grimper
  • Poids considérable
  • Pas donné
  • Visibilité vers l'arrière
  • Choix des matériaux
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Avis Rédaction 15.27/20