Essai détaillé / Lamborghini Urus : le SUV racé

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Le monde du très haut de gamme cède aussi aux sirènes de la mode, donc au style SUV. Mais si d’aucuns se sont empêtrés dans un style pachydermique (heureusement que l’image de marque fait le reste), Lamborghini nous sert un engin terriblement racé. Son ramage vaut-il son plumage?

Avant de devenir un superSUV, l’urus (sans majuscule) était surtout connu pour sa graisse dans laquelle on faisait frire les tripes de sanglier. Il paraît qu’avec du miel, c’est très bon, si l’on en croit Astérix chez les Helvètes. Trêve de plaisanteries: si les SUV ne font pas toujours l’unanimité auprès des amateurs d’automobile (mais ce sont ceux qui en parlent le plus qui en achètent le moins!), à notre plus grand étonnement, ce superSUV qu’est l’Urus pourrait en rabibocher certains avec le genre. Certes, son prix le réserve à une certaine «élite» de la société, mais outre ces considérations bassement financières, force est de constater qu’au-delà d’un look extrêmement dynamique et dont les traits ne laissent planer aucun doute quant à leur origine, l’Urus nous promet les performances d’une supersportive, le luxe et l’habitabilité d’une limousine, le coffre d’un break et les capacités off-road d’un tout terrain. Rêve ou réalité? Pour le savoir, pas besoin de vous pincer: lisez plutôt la suite!

  • Perfs et comportement de supersportive
  • Technologies embarquées (châssis)
  • Confort (amortissement/insonorisation)
  • Habitabilité (surtout à l'arrière)
  • Volume du coffre (modulable)
  • Défauts de finition impardonnables
  • Prix des options
  • Origines allemandes trop visibles
  • Gestion de boîte trop radicale en mode Sport
  • Manque d'espaces de rangement
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Prix en savoir plus sur la version essayée NC
Avis Rédaction 15.53/20