Essai détaillé / Land Rover Freelander Td4

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L'assiduité avec laquelle le Freelander singe son grand frère donne à penser que le petit Land Rover se range. Or rien n'est plus faux: ses nouveaux airs, empruntés au modèle le plus huppé, cachent un regain de verdeur qui frappe (dans) le bon sens.

Un modèle qui, dans son domaine, s'attache à marquer son époque est forcément indémodable. Et ne voit dès lors dans un face-lift qu'une intervention minimaliste. C'est le cas du Freelander, qui, outre le réflexe mimétique qui lui donne de nouveaux phares, cherche à séduire les accros de la conduite
dynamique sur route. Comment? En dédoublant sa personnalité dans une version Sport surbaissée. La démarche choque les puristes du 4x4, qui peuvent toujours jeter leur dévolu sur la suspension des autres modèles, restée intacte et toujours
aussi compétente en tout terrain. Reste que, tant qu'à rouler le ventre plus à terre, le Sport a vraiment raté ici l'occasion de s'offrir un peu plus de moteur. Un Td4 plus entreprenant ne lui aurait pas fait de tort. Même si la course à la puissance n'entre pas dans la philosophie de Land Rover.

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