Essai détaillé / Maserati GranCabrio

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Un beau soleil n'est plus un préalable à rouler décapoté. Le confort moderne de cette 4 places nous a permis de vérifier que l'air frisquet de l'arrière-saison portait mieux le son d'un V8 Mas... errari !

Conduire la tête dans les nuages en dehors de la belle saison n’exige plus la bravoure d’un dur à cuire. L’époque semble bien révolue où il fallait se couvrir les oreilles d’un casque en cuir ou d’un bonnet de laine. Ces temps-là ont bien vu quelques rares Maserati procurer ce plaisir masochiste à leur propriétaire. Construits en quelques exemplaires, sinon à l’unité, ces modèles étaient encore une affaire d’artisans carrossiers.

Ainsi, la marque nous a laissé une unique 4 places, la 26M Gransport carrossée par Castagna en 1932. Dans les années 50, Frua a transformé l’A6G en Spyder, suivi par Vignale (la 3500 GT, qui fut une étoile filante à Hollywood avec John Cassavetes et Lee Marvin dans le film The Killers ou entre les mains de Kirk Douglas dans Two Weeks in Another Town). Les sixties connurent les météoriques Mistral et la Ghibli.

  • Quatre vraies places
  • Cabriolet élégant et raffiné
  • Performances et comportement sportifs
  • Agrément moteur (V8) et – si, si – boîte!
  • Confort de suspension pour une sportive
  • Le son du V8 en mode «ténor» (Sport)
  • Poids excessif pour une présumée sportive
  • Bruits d’air, capote et vitres fermées
  • Espaces de rangement comptés
  • Portes mal retenues (charnière mal crantée)
  • Petit coffre dépourvu de trappe à skis
  • Filet pare-vent optionnel (968 €)...
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Avis Rédaction 14.75/20