Maserati se met au SUV avec le Levante, qui a pour mission d’élargir la clientèle de la marque au trident. Comme Porsche avec le Cayenne, en somme.
La chose n’est plus à démontrer: le SUV est un vrai instrument de conquête, y compris chez les «premium». Car il faut se souvenir que le Cayenne a beaucoup fait pour Porsche, permettant au passage de doubler les ventes en très peu de temps. Et comme le succès de celui-là n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd, tous les autres s’y sont mis. Du plus petit au plus grand. Maserati met du coup aussi le pied à l’étrier avec le Levante, qui a pour objectif de contourner les constructeurs allemands tout en faisant croître les ventes de la marque. Le SUV devrait ainsi représenter 50% des ventes à terme tout en faisant progresser le volume de 30.000 unités en 2015 à plus de 70.000 à l’horizon 2018. Sacré défi!
- Moteur biturbo enivrant
- Châssis réactif, caractère de propulsion pur jus
- Possibilités de personnalisation
- Voiture décalée
- Equipement intéressant (suspension pneumatique)
- Freins trop peu puissants et endurants
- Consommation élevée
- Confort de suspension décevant
- Direction imprécise autour du point milieu
- Finition laissant à désirer