Avec la 2, Mazda persévère dans l'exploitation du filon des petits monospaces. A la différence que, cette fois, le patron, Ford, a mis son grain de sel en posant sa Fiesta comme base de travail.
Depuis la 6, Mazda a entamé un véritable renouveau industriel. Un fait confirmé par l'arrivée de la 2. Cette dernière emboîte la trace de la berline 6 en y ajoutant une collaboration encore plus étroite avec le patron, Ford. Mais qu'importe si cela n'engendre que du positif. Que ce soit pour la tenue de route extrêmement rigoureuse (merci la Fiesta!), le confort, l'esthétique ou la modularité légèrement améliorée (même si la capacité de chargement a diminué par rapport à la précédente Demio). Grâce à l'Américain, le Japonais peut également disposer de moteurs Diesel tout à fait modernes. Certes peut-être pas très performant dans la Mazda 2, le quatorze-cents made by PSA se rattrape néanmoins par son économie d'utilisation. C'est d'ailleurs ce pourquoi il a été conçu. Et comme le Nippon a décidé de pratiquer des tarifs compétitifs, on aurait vraiment tort de se priver.