Mazda poursuit sa révolution technique entamée avec sa berline 3 en la conjuguant sous la forme d’un SUV tirant vers l’univers du coupé. Positionné théoriquement, comme son nom ne l’indique pas, entre les CX-3 et CX-5 déjà connus, qu’apporte réellement ce CX-30 dans la pratique ?
Après les silhouettes hatchback et tri-corps proposées avec sa Mazda3, le constructeur d’Hiroshima englobe cette fois ses nouvelles technologies dans une carrosserie intégrant les codes du SUV à la poupe légèrement fuyante. Pour rappeler son lien de parenté avec la Mazda3, et ne pas reprendre l’étiquette CX-4 déjà proposée pour un modèle exclusivement asiatique, ce nouveau SUV siglé CX hérite du chiffre 30. Il ne remplace donc pas le CX-3 proposé chez nous depuis 2015 et lui-même élaboré sur base… de la citadine Mazda2. Vous suivez toujours ? Bien, alors ajoutons encore que le même chiffre 30 vient aussi d’être retenu par Mazda pour baptiser un autre SUV à venir dans son catalogue. Électrique, celui-ci héritera en revanche des lettres MX et non plus CX. Et là, vous suivez toujours? Pour y voir clair, rien de tel que de bons vieux chiffres finalement: long de 4.395 mm, le CX-30 se positionne dans le catalogue Mazda entre le CX-3 (120 mm plus court) et le CX-5 (155 mm plus long). Un nouveau venu qui présente exactement le même encombrement qu’un certain Nissan Qashqai (4.394 mm).
- Insonorisation
- Finition / qualité perçue
- Equipement de série
- Motorisation Skyactiv-X souple et sobre
- Homologation CO2
- Moteur peu démonstratif
- Fiscalité wallonne
- Graphisme du GPS
- Modularité basique
- Rapport encombrement/habitabilité/coffre quelconque