Pour mieux communiquer avec ses passagers, la nouvelle Classe A apporte avec elle les prémices de l’intelligence artificielle. Et sous le capot, elle cache un nouveau petit 1.3 l à essence aux gènes franco-japonais. Une voiture moderne et métissée…
Née sous forme de monospace en 1997, la Classe A faisait sa mue en 2012, adoptant la forme d’une classique berline à 5 portes et hayon. La nouvelle venue reconduit cette architecture et prend ses rivales de court: elle sort du bois quelques mois avant les nouvelles BMW Série 1 et Audi A3. Cette 4e génération de Classe A nous promet de gommer les défauts de sa devancière, en devenant plus habitable et plus douce des articulations. Elle embarque aussi un nouveau moteur 1,33 litre turbo à essence, conçu avec Renault/Nissan. Mais elle se la joue surtout branchée, avec un habitacle qui multiplie les écrans et englobe un tout nouveau système multimédia doté d’une intelligence artificielle, pour mieux communiquer avec ses passagers. Bref, cette Mercedes a la langue bien pendue. Reste à voir si elle ne parle pas dans le vide…
- Connectivité au top
- Comportement précis, agrément de conduite
- Petit moteur 1,33 turbo sympathique
- Volume du coffre en hausse
- Ambiance de bord moderne et chic
- Accès aux places arrière amélioré
- Prix élevé, options vite ruineuses
- Boîte robotisée parfois hésitante, lente au démarrage
- Consommation à surveiller
- Visibilité de 3/4 arrière toujours limitée
- Place centrale arrière peu confortable
- Suspension rabaissée toujours un peu ferme