Essai détaillé / Mercedes C180 K & C 200 K Break

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La 180, Classe C d'accès, n'était pas une sous-Mercedes. Avec son Kompressor, elle devient plus compétitive. La 200K ne manquait pas de punch. Mais son compresseur lui cassait la voix, et ne lui coupait pas l'appétit.

Plus belle, plus sûre encore, plus équipée, la Classe C «2000» est aussi devenue plus agréable à conduire. Voire à piloter, sur les rails posés par tout un barda électronique, dont la qualité intrinsèque du châssis repousse l'intervention.Au bas de la gamme à essence, la 180 ne déméritait pas, mais faisait pâle figure face à une concurrence plus virulente. En adoptant un compresseur, elle se remet en selle. La 200K, qui utilise le même moteur, un peu plus poussé, régresse donc en cylindrée, mais sauve les meubles en performances. On peut tout de même se demander «pourquoi dépenser plus»? Ou avoir l'idée, à dépense égale, de gravir un échelon de finition et d'équipement. Ou de s'offrir la boîte automatique avec la différence. Ou encore, d'acquérir un break (superbe) au prix d'une berline... Mais ce serait compter sans la nette différence d'agrément procuré par le couple moteur-boîte de la «grosse» 200K. Un élément qui prend encore plus de poids si l'on choisit le break, un petit peu plus lourd, mais surtout nettement moins aérodynamique. Le Moniteur Automobile N°1271 – 29/8/2002 25

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