Mercedes compte énormément sur sa nouvelle Classe B. Elle doit non seulement prendre le relais des précédentes Classe B et actuelle Classe A, mais aussi se trouver un nouveau public, celui des jeunes familles avec enfants. Une refonte totale s'imposait do
La meilleure façon de décrire la nouvelle Classe B est d'évoquer le croisement entre un break et un monospace. Fait stylistique le plus surprenant, sa hauteur chute de 10 cm par rapport à la génération précédente, conséquence de l'abandon du double plancher en «sandwich » prévu initialement pour accueillir des moteurs «alternatifs». Or, à part quelques prototypes électriques et à hydrogène, on les attend toujours ! Fort heureusement, l'abaissement du toit n'hypothèque nullement l'espace intérieur, un des principaux atouts de la Classe B depuis ses origines. Non contente d'abandonner le principe du double plancher, la Classe B voit aussi sa suspension muter. Pas à l'avant, où l'on retrouve des jambes de force McPherson, mais bien à l'arrière, où l'essieu parabolique cède la place à une architecture à roues totalement indépendantes à 4 bras chacune.
- Groupe motopropulseur agréable
- Habitacle vaste et fonctionnel
- Comportement sûr et plaisant
- Excellente direction, bons freins
- Qualité perçue/nombreuses options possibles
- Prix de base en baisse
- Politique d'options pas toujours cohérente
- Prix de certaines options
- Fonctionnalité partiellement en option
- Pas aussi vaste que sa devancière
- Boîte 6 étagée un peu long
- Suspension sport plutôt raide