La Mercedes CLS montre de belle façon comment la berline doit évoluer pour tenir tête au déferlement des nouveaux concepts, monospaces, SUV, Sports Tourer... Par un abus de langage couramment admis, on définit son style très particulier en parlant de "cou
Analysée de manière rationnelle, la situation commerciale de la CLS apparaît tout à fait logique. S'il s'en vend 5 fois moins que de Classe E (1er trimestre 2005), c'est sans doute parce que le public n'est pas dupe. Pourquoi payer entre 6.000 et 7.000 euros de plus (selon la version) pour une voiture plus
encombrante, plus lourde, moins habitable et moins pratique? Pour la ligne? Certes, la CLS est superbe. Mais c'est là un avis subjectif, donc sujet à discussion. Un débat qui sort, soit dit en passant, du rationnel. Lequel n'a de toute façon pas droit de cité dans ce segment et - surtout - à ce niveau de motorisation. Alors, oui, la CLS 500 est une formidable avaleuse de kilomètres alors que la 55 AMG tient du missile qui n'attend plus que sa mise à feu.