Essai détaillé / Opel Crossland X 1.2 T A : Prometteur

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Conscient de la désaffection du public pour les monospaces conventionnels, Opel a remplacé son Meriva par le Crossland X, un crossover plus dans l'air du temps. L’ère du quasi-monopole du Diesel dans le segment étant en voie d’extinction, nous l'avons essayé avec un 1.2 turbo à essence, associé à une boîte automatique.

L’Opel Crossland X remplace (ou en tout cas remplacera à très court terme) le Meriva, un monospace compact du segment B, s’étant démarqué par ses portes arrière à ouverture inversée. Comme Renault et Peugeot avant lui, Opel a réalisé que les monospaces ont actuellement du plomb dans l’aile. Il a donc opté pour ce que l’on appelle un «urban crossover», un type de véhicule qui mixe plusieurs caractéristiques stylistiques: on y retrouve une face avant musclée, comme dans le cas du Mokka X, un toit «flottant» comme dans celui de l’Adam, et des flancs sculptés.

Ce Crossland X est également le premier fruit de la synergie avec Peugeot, même si ce n’est pas visible extérieurement. Le Crossland X reprend en effet la plateforme du Peugeot 2008, dérivée de celle de la 208, et est mû par des moteurs qui sont tous d’origine PSA. Mais le lien avec la General Motors n’a pas été brutalement coupé. C’est ainsi que les équipements de confort et de sécurité, les aides à la conduite et la connectivité proviennent toujours de chez l’ancien propriétaire de la marque au Blitz, ce qui fait une sacrée différence.

  • Moteur volontaire
  • Excellente boîte automatique
  • Bon maintien des sièges
  • Rapport gabarit/habitabilité optimal
  • Equipement de base intéressant
  • Direction avare d'informations
  • Détails de finition
  • Bruits de vent à vive allure
  • Guère sobre en pratique
  • Commandes facteurs de distraction
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