Essai détaillé / Opel Insignia Country Tourer 2.0 CDTI 210 : Comme une envie d’air

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Les breaks de prestige n’ont pas le privilège des loisirs. Les marques généralistes partent aussi à l’aventure, en témoigne cette Insignia « SUVisée », qui se profile comme la plus vagabonde des Opel.

Il n’y a pas que le SUV dans la vie ! Le break peut lui aussi se donner un look aventureux et même les moyens de ses ambitions, lorsqu’il s’équipe d’une transmission intégrale. Volvo aime se poser en pionnier du break «â€ŠSUVisé ». Ce titre revient pourtant à Subaru, qui a lancé sa première Outback en 1995, soit avant les Volvo XC70 (1997) et Audi A6 Allroad (1999). Depuis, le marché du SUV a flambé, mais sans tuer le concept du break rehaussé. Au contraire, ce dernier séduit même de plus en plus de constructeurs, tant «â€Špopulaires » (Seat León ST X-Perience, Škoda Octavia Scout, Subaru Outback, Volkswagen Golf & Passat Alltrack) que «â€Špremium »â€Š: Audi A4 & A6 Allroad, Mercedes Classe E All Terrain et Volvo V90 CrossCountry (la V60 CC sera bientôt renouvelée). Opel se plonge à nouveau dans ce marché, avec cette deuxième génération de l’Insignia Country Tourer.

  • Statutaire, mais moins chère que ses concurrentes
  • Voiture toute saison, sécurité, efficacité
  • Confort global, amortissement piloté
  • Habitabilité arrière généreuse
  • Coffre vaste et pratique
  • Consommation élevée
  • Garde au sol peu aventureuse
  • Encombrement/visibilité en ville
  • Garantie générale basique
  • Kit anticrevaison et roue de secours en option
  • Déductibilité fiscale limitée
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