Essai détaillé / Opel Mokka 1.4 T 4x4

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Dans sa quête éperdue de volume, Opel explore sans cesse de nouvelles niches. Et dans cette stratégie d'expansion, son dernier atout en date s'appelle Mokka, un soft-roader qui s'inscrit au sein du segment B.

Avec sa longueur de 4,28 m, le Mokka se situe entre les segments B (Corsa) et C (Astra). Ce qui le place aussi en concurrent direct de véhicules comme le Mitsubishi ASX (4,34 m, comme ses cousins français Citroën C4 Aircross et Peugeot 4008 qui en dérivent) ou le Skoda Yeti (4,22 m). Le Mokka s'insère aussi entre, par exemple, les Nissan Juke (4,13 m) et Qashqai (4,31 m). Curieusement, un Toyota Rav4 ne mesure que 3 cm de plus, mais, avec sa largeur de 1,81 m (contre 1,77 m pour le Mokka), il est visuellement plus imposant. Ses autres rivaux, certes moins directs, sont le Dacia Duster (4,31 m de long, mais 1,82 m de large) qui a l'avantage du prix, mais ne peut rivaliser en équipement ou en puissance, ainsi que la Mini Countryman, beaucoup plus compacte (4,09 m) et moins bien équipée. Le Mokka doit donc faire face à forte partie, surtout que Ford, Seat, Fiat, Jeep, Peugeot et même Audi et Mercedes ont manifesté un intérêt certain pour le segment...Il va donc y avoir du sport dans les mois qui viennent.

  • Assises élevées, visibilité vers l'avant
  • Accès aisé à bord
  • Look sympathique
  • Équipement high-tech (Opel Eye)
  • Motricité (avec la transmission intégrale)
  • Rapport gabarit/habitabilité
  • Visibilité de 3/4 AV, 3/4 AR et latérale
  • Détails de finition (position écran navigation)
  • Ressenti artificiel de la direction
  • Transmission intégrale parfois lente
  • Commandes (direction, boîte, freins)
  • Tarif élevé
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