Ce nouveau type 981 est la première vraie refonte du Boxster. Les gènes bonifient : le moteur boxer reste ancré au coeur de la carrosserie, où il n'a jamais été aussi bien accroché. Comme ce modèle S à la route.
La génération 3 du Boxster change pour la première fois d'empattement. Celui-ci s'allonge de 60 mm alors que la longueur hors tout du roadster n'augmente que de 32 mm. Les porte-à -faux s'en trouvent donc réduits sur la différence, au bénéfice de l'équilibre esthétique et dynamique. Partant d'un nouveau fond de coque, les ingénieurs en ont bien évidemment profité pour opérer toute une série de mises au point (ancrage des organes mécaniques et de suspension, renforts, mais aussi allégements structurels) visant à rendre le Boxster plus facile à prendre en main, confortable au quotidien, grisant à conduire tant sur le mode coulé qu'à la limite. Ses formes nouvelles semblent singer celles de l'imminente et plus confidentielle 918 Spyder.
- Équilibre dynamique stupéfiant
- Efficacité du châssis, conduite délectable
- Performances moteur et boîte PDK
- Insonorisation sous la capote
- Confort décapoté, même à grande vitesse
- Rapport performances/consommation
- Coasting exaspérant en trafic accordéon
- Prix de base exorbitant
- Certaines options très chères ou puériles...
- Tout se paie (coupe-vent à 302,50 euros)
- Surenchère à la sophistication technique
- Maintien latéral des dossiers perfectible