Essai détaillé / Renault Mégane 2.0 Turbo

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Il y a plusieurs façons de réaliser un score. A défaut de rallier la majorité auprès d'un seul modèle, le 4 cylindres turbo à essence tente de rassembler les miettes laissées par son homologue Diesel. Après les Avantime, Vel Satis, Espace, Laguna, Scénic

Si on laisse à part l'impressionnante Mégane Trophy de course, la dernière aventure de Mégane, routière celle-ci, consistait à faire un tour par chez Renault Sport. Elle en ressortait survitaminée par un turbo soufflant fort et posée sur un train avant de compétition. Mais pas aussi homogène que performante, en définitive. La toute dernière version de la Mégane en prend le
contre-pied, cherchant moins à se faire remarquer qu'à préserver les qualités intrinsèques du modèle. Ici, pas de train avant à pivot découplé, mais une classique (pseudo-)McPherson à triangles inférieurs. Toutefois, de la Mégane RS, cette 2.0 T (comme Turbo) reprend le principe de la suralimentation. Avec un bon tour de moins sur la molette et, en conséquence, une puissance nettement moins élevée. Malgré son compresseur, la 2.0 T se tient à plus grande distance de la RS Turbo que de la 2.0 «atmosphérique».

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