Essai détaillé / Seat Altea TDI 1.9 & 2.0

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La Seat Altea nie en bloc la conception monolithique du monocorps. Ce n'est pas parce qu'on a charge de famille qu'il faut laisser le sens pratique supplanter le souci esthétique et les plaisirs de la conduite.

Al'évidence, Seat a flingué de gros budgets pour rémunérer des stars du style et rendre l'Altea attirante. Tant et si bien qu'il ne devait plus rester grand-chose pour affecter des ingénieurs à la conception d'un habitacle qui soit à cent pour cent
fonctionnel. Ni pour rémunérer correctement les équipementiers responsables des garnissages intérieurs, à qui le constructeur espagnol n'a même pas laissé le temps d'être besogneux. A quoi bon pratiquer la haute couture dans la gamme moyenne... si la couture lâche. Et si l'on passe à côté des astuces et des éléments de sens pratique qui s'imposent de
façon criante. La nouvelle Seat apparaît donc comme un chefd'oeuvre inachevé, auquel il ne faudrait pas grand-chose pour gagner à la fois en rigueur (qualité
des garnissages) et en cohérence (modularité à l'arrière). Ce dernier manquement s'estompe à la seule condition de ne plus la considérer comme un monospace mutant, mais comme une super-cinq-portes, spacieuse, conviviale, agréable à vivre, à conduire et à regarder. Et, somme toute, rationnelle en diable dans ses deux versions Diesel.

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