Le Yeti entre dans sa 5e année sans subir de mue. Son évolution se limite à de nouvelles mimiques qui font deviner qu'il est soit urbain, soit tourné vers les activités outdoor; bref, qu'il ne veut plus passer aussi systématiquement pour un mélange de gen
Au contraire des Asiatiques, Skoda n'a pas procédé au remodelage des formes de son SUV fétiche, le Yeti, après 5 ans de carrière à peine. D'autant que ses volumes sont si simples - et tout aussi sympathiques - qu'il était dès lors difficile de les réinventer sans aboutir à quelque chose de moins optimal. Le but, ici, est certes de vendre un look, mais aussi un outil de mobilité et de transport éminemment pratique. Seules les faces avant et arrière ont donc fait l'objet de légères retouches. Les phares, surtout, qui deviennent rectangulaires et dont les contours sont désormais compatibles avec l'éclairage bixénon optionnel que le Yeti vient d'adopter. Même souci pour les antibrouillards, implantés plus bas dans un nouveau bouclier, conçus pour intégrer le faisceau oblique de virages. Les feux arrière interprètent également une signature propre à Skoda à travers des diodes. Aucun chambardement, en somme. Sauf que le modèle existe désormais en version plus spécifiquement urbaine ou dans une variante Outdoor davantage portée sur les activités de plein air.
- Rapport encombrement/habitabilité
- Modularité du coffre et de la banquette
- Très sympa sur la route, les chemins et en ville
- Confort de marche et de suspension
- Espaces de rangement, fonctionnalités
- Construction robuste et soignée à la VW
- Vite cher, fait partie des Skoda à prix VW
- ..Costly Clever?
- Inflation d'options gadgétisantes
- Remise à jour plus lifestyle que profonde
- Plus lisse esthétiquement depuis le restylage
- Cherté injustifiée par rapport au Roomster